Otto Eduard Lederwaren[1][2] ( trad. approx. maroquinerie Otto Eduard ) est une maroquinerie située à Berlin, en Allemagne. Elle appartient à Otto Eduard.
Généralités [AF3 MC][]
D'après Les Animaux fantastiques : Les Secrets de Dumbledore : La Magie du cinéma, Otto Eduard Lederwaren se situe sur Taubenstraße, à Berlin.[3]
Histoire[]
1932 [AF3][]
Dans Les Animaux fantastiques : Les Secrets de Dumbledore, en 1932, sur les instructions confidentielles de Dumbledore, Bunty Beauchamp se rend dans la maroquinerie d'Otto Eduard. La jeune femme présente au maroquinier une valise en lui expliquant qu'elle souhaite la reproduire en une demi-douzaine de répliques. Otto observe alors la valise mais Bunty l'arrête lorsqu'il s'apprête à l'ouvrir. Tandis que, interloqué, le commerçant lui demande pour quelle raison elle en a besoin, Bunty improvise une réponse en prétendant que c'est pour son mari qui a des soucis de mémoire. L'assistante de Norbert désire également conserver la valise et ne laisse que deux jours au maroquinier pour fabriquer les copies. Malgré les justifications peu convaincantes de Bunty, Otto accepte la commande.[4]
Produits en vente [AF3][]
Anecdotes[]
- Pour le décor de la maroquinerie, Anna Pinnock a rempli la boutique d'Otto avec des machines et des outils traditionnels et d'époque qu'elle est parvenu à dénicher chez un maroquinier à Londres.[3]
- Dans le texte du film Les Animaux fantastiques : Les Secrets de Dumbledore, la maroquinerie est nommée « Cordonnerie chez Otto - Fabrication d'articles en cuir »[5].[6]
Apparitions[]
Notes et références[]
- ↑ ( réf. Les Animaux fantastiques : Les Secrets de Dumbledore ) – Voir cette image.
- ↑ Le titre de cet article ne semble pas avoir fait l'objet d'une traduction officielle.
- ↑ 3,0 et 3,1 ( réf. Les Animaux fantastiques : Les Secrets de Dumbledore : La Magie du cinéma )
- ↑ 4,0 4,1 4,2 4,3 et 4,4 ( réf. Les Animaux fantastiques : Les Secrets de Dumbledore )
- ↑ ( v. o. Otto's Leather Goods )
- ↑ ( réf. Les Animaux fantastiques : Les Secrets de Dumbledore ) – Le texte du film, scène 42